L’orage a grondé
Les turbulences ont été fortes
Le vent n’a cessé de tourné
Chaque chemin était une allée morte
Depuis le début de matinée
L’indisposition était claire
Tout était bon pour nous énerver
Passant du jeu aux cris en un éclair
Les pleurs n’ont pas fait défaut
A sa panoplie d’enfant gâter
Nous mettant à l’épreuve sans mots
Et des courses pour le rattraper
Ne voulant rien écouter
Ni les remontrances, ni la raison
Avant d’aller se coucher
Une accalmie n’était pas à l’horizon
Mais il n’aura été nécessaire
Que d’un gros et long câlin
Proposer par son père
Pour évaporer les chagrins
Et plonger dans le pays des rêves.
14.10.2015