LA PLUME DE DAVID ALEXANDRE LIEBERMANN

Rêve

Elle s'avança vers moi

Et à chacun de ses pas

Ses cheveux étincelèrent

Le peu qui restait d'air

 

Elle défit sa chemise

Mon dieu qu'elle est exquise

Provocant chaque désir

Sans jamais rougir

 

Ses deux cours au vent

La sensualité en avant

Et aucun paravent

Pour se mettre devant

 

Le dessous ne tarda pas

Et en un coup de bras

Sans soucis ni émoi

Je pus tout voir devant moi

 

Sans tarder elle m'effleura

Et je la pris dans mes bras

Elle se mit à rire aux éclats

Et enfin elle m'embrassa

 

Nous roulâmes sur ce vert

Et nous enlacèrent

Laissant le temps passé

Pour mieux nous aimer


 21.03.2000

Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !

Ajouter un commentaire

Anti-spam