LA PLUME DE DAVID ALEXANDRE LIEBERMANN

Calvaire

Je vis un calvaire

De ne pas entendre ta voix

A chaque sonnerie j'espère

Que ce sera toi.

 

Cela fait une semaine

Que tu es partie la-bas

Je suis en grande peine

Quand tu n'es pas la

 

Mon visage s'assèche

De l'eau qui y a coule

Et mon cour sèche

Dans son moule

 

Tous ce que j'avais demandé

C'est d'être gâté

Ne fut-ce que pour un jour

D'un infini amour.

 

26.01.01
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