LA PLUME DE DAVID ALEXANDRE LIEBERMANN

Patience

J’ai cru en avoir beaucoup

Mais me suis lourdement tromper

Je me suis donné plein de coup

Jusque la soupape a explosé

 

La tornade était alors lâcher

Ne faisant aucune différence

Laissant déferler la lâcheté

Et la haine face à l’insouciance

 

Le volcan c’est réveiller

La lave blesse toute les victimes

Sans trop regarder

L’apparition des larmes sur ses crimes

 

De ce petit être devant toi

Qui ne demande qu’à t’aimer

Et devant lequel tu déçois

Alors qu’il ne voulait que jouer.

 

05.10.2015

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