La ville me pèse Tout ce béton autour Le goudron parterre Et le son des klaxons L'agglomération m'étouffe Tout ses gens autour de moi Le temps qui passe entasser Dans des cubes avec un toit C’est à peine si on voit le ciel Si on peut entendre les oiseaux Les bâtiments ont remplacé les arbres Les rivières ont fait places aux routes Je veux pouvoir m'enfuir Sortir de cette prison de pollution Retrouver la sérénité de la nature Et respirer enfin de l'air pure Stop. Je ne bouge plus Je prends mon souffle Et je me mets à courir Pour ne pas mourir Je sors de cette forêt de béton Et ne m'arrêter qu'à la lisière du bois Je respire un grand coup Avant de pénétrer dans ce cocon vert Le chant des oiseaux font un concert Le sons de la rivière me berce Le vents m'enveloppe tendrement Et la terre m'accueil à bras ouvert Je suis enfin arriver Le calme revient vers moi Mes lèvres percent un sourire Je ferme les yeux pour respirer Le temps n'as plus d'importance La sérénité prends le dessus Je peux enfin me retrouver Et être moi en entier. 24.09.2025
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