LA PLUME DE DAVID ALEXANDRE LIEBERMANN

J étouffe

La ville me pèse
Tout ce béton autour
Le goudron parterre
Et le son des klaxons

L'agglomération m'étouffe
Tout ses gens autour de moi
Le temps qui passe entasser
Dans des cubes avec un toit

C’est à peine si on voit le ciel
Si on peut entendre les oiseaux
Les bâtiments ont remplacé les arbres
Les rivières ont fait places aux routes

Je veux pouvoir m'enfuir
Sortir de cette prison de pollution
Retrouver la sérénité de la nature
Et respirer enfin de l'air pure

Stop. Je ne bouge plus
Je prends mon souffle
Et je me mets à courir
Pour ne pas mourir

Je sors de cette forêt de béton
Et ne m'arrêter qu'à la lisière du bois
Je respire un grand coup
Avant de pénétrer dans ce cocon vert

Le chant des oiseaux font un concert
Le sons de la rivière me berce
Le vents m'enveloppe tendrement
Et la terre m'accueil à bras ouvert

Je suis enfin arriver
Le calme revient vers moi
Mes lèvres percent un sourire
Je ferme les yeux pour respirer

Le temps n'as plus d'importance
La sérénité prends le dessus
Je peux enfin me retrouver
Et être moi en entier.

24.09.2025

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