Le silence pesant de la nuit Est coupé par le sont des sirènes. Les hommes se sont évanouis Lorsque le couvre-feu à pris les reines.
Durant le jour les activités ont repris.
Les ambulances ne s'arrêtent pas de raisonner. Sur le champ de bataille des insoumis, Qui font grimper la fatigue des brancardiers
Les hôpitaux ne désemplissent pas un moment. Le corps médicale lute en première ligne Sans s'interrompre un seul instant En espérant qu'un pacien leur fera signe Et de voir enfin le regard vif d'un revenant.
Pendant que le personnel soignant Se bat dans les tranchées de la mort Les politiques discutent et perdent du temps Paradant sur les milliers de corps Demonstrant qu'ils sont incompetent.
Moi, ne veux juste crier Qu'il faut arrêté de déconner De mettre les différences de coter Et de mettre enfin l'humaniter en premier.
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