Est une réalité qui scie
Mais qui ne fait aucune envie
Même parmi ceux qui en rient
La solitude de l'être
Est comme le pain qu'on paître
Ressemblant à ceux qui vont naître
Au pied d'un hêtre
La solitude de l'homme
Est comme une pomme
Qui parfois se gomme
Comme un carcinome
La solitude de la nuit
S'installe sans bruit
Pénètre les coeurs endormis
Ajouter un commentaire