Le vent balaie le monde
Le sermon des volcans
Raisonne sur cette terre ronde
Pleine de prières et de chants
La nuit s'éclaircit sous la lune
Et le jour s'assombrit pas à pas
Les fantômes dansent sur les dunes
La mer se délaisse dans ses bras
La forêt offre le confort
Au dernier égaré
Leur promettant un fort
Qui leur permet de se reposer
La nature humaine reprend du flambeau
Les voix de la terre s’estompent peu à peu
L'esprit hésite entre le vrai et le faux
Le cauchemar aurait-il prix le feu?
Le sont des sirènes se font rare
Mais leurs échos sont encore présents
On redécouvre des visages dans un bar
Ou l’on resouffle la vie sur la ligne du temps.
Profitons de cette accalmie
Pour se rencontrer à nouveau
Se réjouir de cette symphonie
Des visites en dehors des réseaux