LA PLUME DE DAVID ALEXANDRE LIEBERMANN

Le temps

 Le temps passe
 La jeunesse s'efface
 Cédant la place
 Au lendemain de glace 

 Année après année
 Il n'aura pas oublié
 Que dans une contrée
 Assez éloignée 

 Quelqu'un se souvient
 Que peu importe le coin
 Même s'il est très loin
 Il y a toujours ce lien 

  Un lien qui survit
 À toutes les péripéties
 Et que la force unit
 L'amour des amis
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Commentaires

  • Isalou

    1 Isalou Le 07/12/2008

    ... la force des sentiments qui abolit les distances et le temps ...
    Très joli poème, David !

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