LA PLUME DE DAVID ALEXANDRE LIEBERMANN

Le chant du coq

Le chant du coq au réveil
L’odeur du bois brûlé
Faisant réchauffer le café
Tous les sens sont en éveil

Mettre les bûches dans le feu
Afin de pouvoir prendre un bain
Et de chauffer un peu
La chambre et ses recoins

Allumer les bougies
Pour pouvoir découvrir
Dans la pénombre de la nuit
Son doux sourire

Marcher la flamme fébrile
Nous faisant apparaître
Les coins du domicile
Comme s’il venait de naître

Nous avons perdu cet esprit
Des choses simples
Qui faisaient de la vie
Nous rendre compte d’être humble.

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