LA PLUME DE DAVID ALEXANDRE LIEBERMANN

Tempête

L’orage a grondé

Les turbulences ont été fortes

Le vent n’a cessé de tourné

Chaque chemin était une allée morte

 

Depuis le début de matinée

L’indisposition était claire

Tout était bon pour nous énerver

Passant du jeu aux cris en un éclair

 

Les pleurs n’ont pas fait défaut

A sa panoplie d’enfant gâter

Nous mettant à l’épreuve sans mots

Et des courses pour le rattraper

 

Ne voulant rien écouter

Ni les remontrances, ni la raison

Avant d’aller se coucher

Une accalmie n’était pas à l’horizon

 

Mais il n’aura été nécessaire

Que d’un gros et long câlin

Proposer par son père

Pour évaporer les chagrins

Et plonger dans le pays des rêves.

 

14.10.2015

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