LA PLUME DE DAVID ALEXANDRE LIEBERMANN

Jetée

On se promène sur la jetée
Perdu dans nos pensées
Regardant la mer loin devant
Et les ferries passant

Cela peut faire rêver
À de lointaines contrées
Beaucoup plus ensoleillées
Où les gens sont moins agités

On regarde le soleil se coucher
L'horizon en devient un tableau
Et la lune apparaît argentée
Se reflétant dans la mer aussitôt

Il y a des beautés
Que l'on ne se lasse pas de regarder
Comme la nature enchantée
Et toi mon aimée

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