LA PLUME DE DAVID ALEXANDRE LIEBERMANN

Barrière

J'avais tant mis de barrières

Et t'avais laissée en arrière

J'étais sous l'influence d'une mère

Et je nous ai séparés par la mer


C'était sans compter

Sur la force du destin

C'était sans écouter

Mon cour me disant reviens


Il m'a fallu des années

Et des stades d'extrémité

Pour abattre les barrières

De religion et de frontières


Afin de pouvoir nous donner

Sans doute la seule opportunité

D'entendre nos cours nous crier

Qu'il est temps de nous aimer.

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